Joseph Kabila fait face aux conséquences de sa politique de division envers les Nandé.
Dans un discours adressé à un groupe de députés Nandé, Joseph Kabila a déclaré qu’il était également le fils de Rwenzori, suscitant ainsi des spéculations. Cette déclaration laisse entendre qu’il serait lié depuis longtemps aux groupes mafieux et terroristes étrangers qui ont envahi la région de Beni depuis plusieurs décennies.
Nathalie Rolley, CORRESPONDANTE INTERNATIONALE CNT LIVE.
Kabila a également blâmé les députés Nandé pour les atrocités commises à Beni, allant même jusqu’à dire que la République démocratique du Congo pouvait se développer et organiser des élections sans le Kivu. Cependant, il n’a jamais manifesté une volonté pratique de résoudre la crise à Beni, ni montré de compassion envers les victimes innocentes.
Il a également déclaré qu’il pouvait faire du Nord-Kivu une Casamance, faisant allusion au conflit prolongé au Sénégal. Cette arrogance est un signe flagrant d’ingratitude envers une région qui était son principal soutien électoral.
Les promesses de paix de Kabila se sont révélées ironiques, car les massacres ont continué à Beni. Il a même déclaré ouvertement qu’il détestait les Nande et qu’il avait le pouvoir de les appauvrir. Cette haine s’est manifestée par l’insécurité généralisée dans la région, les destructions de maisons et de villages, le pillage des biens et l’imposition d’une insécurité qui a forcé de nombreux habitants à devenir nomadé.
Kabila a également accusé les Nande de ne pas vouloir vivre avec les autres, alors qu’en réalité, la cohabitation dans la région de Beni a toujours été harmonieuse. Il a encouragé l’agriculture comme alternative au commerce de l’or, mais sa famille a imposé un monopole sur l’achat d’or à Bunia, discriminant ainsi les Nandé.
Des propos tenus par Kabila montrent clairement sa volonté d’anéantir les Nandé et les Baluba, qu’il considère comme des obstacles à ses plans. Le gouvernement a tenté de faire croire que les massacres étaient le fait du Muslim Tabliq Movement (MTM), mais il y a des preuves de la complicité de l’armée congolaise dans ces crimes.
Après que sa maison a été incendiée, Kabila a menacé la communauté Nande en suggérant qu’il pourrait faire de même avec leurs maisons à travers tout le pays. Ces déclarations révèlent une animosité xénophobe de la part d’une personnalité qui devrait être le père de la Nation.
En conclusion, Joseph Kabila est le véritable responsable des massacres de Beni, en tant que commanditaire principal et soutien du plan d’occupation en cours. FELIX TSHILOMBO
à son continue de faire la même besogne. Son indifférence face à la tragédie en cours et le comportement des forces armées congolaises, qui ne font rien pour arrêter les auteurs des massacres, le prouvent.
MERCI À JEANNE DARC ET MERCI À TOUS.
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