Un corps a été repêché sur l’île Saint-Quentin. La police de Trois-Rivières a trouvé un corps à la marina de l’île Saint-Quentin, où Alexandra Martine Diengo Lumbayi, disparue depuis mercredi dernier, a été vue pour la dernière fois.
Cependant, la police n’a pas encore pu confirmer que le corps est bien celui de l’étudiante disparue. Ils ont indiqué qu’une analyse sera effectuée à la morgue en raison de l’état de décomposition du corps.
Des policiers, ambulanciers et pompiers ont été déployés à la marina de l’île Saint-Quentin dans la matinée après qu’un témoin en kayak a signalé avoir vu ce qui semblait être un corps flottant sur la rivière Saint-Maurice. Plusieurs étudiants et membres de la communauté congolaise se sont rendus sur l’île Saint-Quentin ce matin-là pour effectuer des recherches.
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Sur les réseaux sociaux, plusieurs membres de la communauté congolaise ont été vus en pleurs. Les recherches menées lundi sur l’île Saint-Quentin à Trois-Rivières pour retrouver Alexandra Martine Diengo Lumbayi n’ont pas abouti. L’enquête se poursuit, mais les recherches sur le terrain ont été suspendues faute de nouvelles preuves.
Depuis la disparition de l’étudiante de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) mercredi, la police a concentré ses efforts de recherche sur l’île Saint-Quentin, où la jeune femme de 21 ans a été vue pour la dernière fois.
La police a obtenu des images de vidéosurveillance confirmant qu’elle s’est bien rendue à cet endroit mercredi. Selon eux, c’est son colocataire qui l’aurait déposée à l’entrée du chemin de l’île Saint-Christophe, près du club de canotage, à sa demande.
Un soulier retrouvé
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La police a annoncé lundi après-midi avoir retrouvé un soulier sur un sentier entre un stationnement et les berges. Le soulier est actuellement en cours d’analyse ADN pour déterminer s’il appartenait à Alexandra Martine Diengo Lumbayi.
Encore aujourd’hui, toute information du public pourrait aider les enquêteurs et les orienter vers de nouvelles pistes. Toutes les pistes sont toujours envisagées à ce stade, explique le sergent Luc Mongrain, porte-parole de la police de Trois-Rivières. Par ailleurs, la police met en garde contre les rumeurs impliquant le colocataire de l’étudiante. L’enquête ne permet pas de soutenir qu’il soit impliqué dans la disparition.
C’est lui qui nous a contactés pour signaler la disparition. Il a rapidement été interrogé par les enquêteurs, et nous avons fait notre travail, a ajouté M. Mongrain.
