Catherine Nzouzi Wa Mbombo, ancienne danseuse du ventre de Mobutu Sésée Séko, semble être restée fidèle à ses croyances et ses pratiques mystiques malgré son âge avancé. Cependant, sa fidélité semble s’effriter lorsqu’il s’agit de condamner le tribalisme exacerbé d’Angwalima Félix Tshilombo Tshintountou, surnommé l’Affabulocrate MUANA MBOKA YA MOYIBI YA MAPONAMI.
Alors que des groupes tribalistes font régner la terreur dans le pays, rappelant les méthodes des Tontons Macoutes, Catherine Nzouzi Wa Mbombo reste étrangement silencieuse. À 79 ans, elle semble avoir mal vieilli, souffrant d’amnésie et exprimant des opinions déraisonnables et farfelues.
Dans une vidéo circulant sur les réseaux sociaux, Catherine Nzouzi Wa Mbombo ose vanter le gouverneur de province nommé, rejoignant ainsi les louanges de Tshilombo Tshintountou. Cela soulève des questions sur la légitimité des gouverneurs nommés, comme Monsieur Denise Nyakérou, et leur impact sur la paix et la stabilité dans la région du Kongo.
Pour Catherine Nzouzi Wa Mbombo, seule l’élection d’un gouverneur provincial peut garantir une légitimité. Cela soulève la question de savoir si nous avons réellement besoin d’élections pour choisir ses représentants.
Il est également nécessaire de rappeler à Catherine Nzouzi Wa Mbombo certains événements marquants de l’histoire, notamment l’assassinat de son frère, Emmanuel Nzouzi, un Lumumbiste, en 1961. Comment une personne ayant subi de telles tragédies peut-elle soutenir un régime qui a trahi son propre peuple ?
En conclusion, il est clair que la question de la légitimité des gouverneurs nommés divise profondément l’opinion publique. NOUS AVONS besoin de représentants élus pour assurer sa voix dans le processus décisionnel. Les nominations arbitraires ne sont jamais la solution.
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